dimanche 30 décembre 2007

Réveillon no classic !

M. prépare la soirée du réveillon et révise ses classiques... A quelle sauce va-t-elle manger e. cette année ? Elle hésite, et ne doit pas oublier que selon la croyance familiale, l'année est à l'image du jour de l'an... 2008 risque d'être une année brûlante ! Très bonne fin d'année à vous tous. A bientôt en 2008 ! M. et e.

mercredi 26 décembre 2007

BONNES FESTES

Joyeux Noël à tous. Bonnes fê(s)tes.
Bons liens, bons scenarii, bonnes découvertes...avec les cadeaux et les rubans déposés dans nos jolis souliers !!!

samedi 15 décembre 2007

tannées folles

Tout un programme. Toutes poutres dehors, avec en plus de quoi suspendre. Jardinage des demi-lunes en perspective, nettoyage des peaux pour préparer les fêtes... Quels nouveaux accessoires dans la hotte de M. cette année ? Quels châtiments la mère fouettarde réserve--t-elle pour e. le dur en cuir ? En images prochainement...

vendredi 7 décembre 2007

Volière d'hiver

Que cela passe vite. Voici déjà venu le temps de Noël. Il va falloir sortir le sapin et les décorations que nous prenons plaisir, cette année, à personnaliser.

Décidément nous sommes d'humeur très "cage" en ce moment.

Il ne reste plus qu'à les accrocher aux branches pour laisser M. et e. virevolter au vent de l'Avent...

dimanche 2 décembre 2007

Maux tus

Homme cage et prisonnier de ses désirs.

Alphabet de la soumission : AÏE, badine, Cuir, dentelles, e., FOUET, grille, Hautaine, joug, knout, lanières, M., noeuds, ORDRE, punition, Q, rets, sévère, trembler, uniforme, vénération, wagon-lit, yogi, Zébrures

Ecrire à corps et à cris...

vendredi 30 novembre 2007

Passage comme une image

Comment écrire mon obéissance sinon par cette image ?
Comment exprimer ma dilection pour les corrections brûlantes et aimantes de ta main gantée ?

L'image peut-elle traduire l'émotion de l'instant, la naissance d'un cri ou la libération d'un soupir ? Est-elle capable de restituer la puissance de ce fouet torsadé, que je crains et désire tant ?

Peut-elle suivre la topographie complexe de notre épopée punitive, faite de coups et de caresses, de cinglements et de chuintements ?

L'image n'est-elle pas présente uniquement pour appeler sans pudeur une autre râclée, pour espérer dans une supplique esthétique, la répétition de la danse des demi-lunes ; pour rêver une représentation qui finirait par un nouvel abandon, toute volonté encordée et menottée, les chaussettes blanches en berne, réduit à l'état de vahiné, objet de désir, les fesses rougeoyantes, la peau sablée et striée, sans échelle ni échasses, nu et à Vous au poteau de nos étreintes ?

samedi 24 novembre 2007

Corset âme

J'ai lacé mon bustier et ajusté mes bas, pour vous attendre.

Lassée de vos caprices, j'ai posé, prudente, une cravache sur le lit.

J'espère la plus grande obéissance et ordonne les plus délicates attentions.

Maintenant, enlacez-moi et abandonnez-vous entre mes bras, entre mes lacets et mes lignes droites.

dimanche 18 novembre 2007

Désirs sans fards

Conversation lumineuse. Ils sont sept. Scribes ou soumis ? Bouddhas ou fétichistes des mâts ?

Ils n'ont pas froid. Installés au sommet d'une place, contemplant silencieusement la ville, ils attendent la tombée de la nuit pour s'exprimer.

Ils dialoguent et semblent en même temps se recueillir. Ils exposent également leurs fesses colorées. M. étudie déjà la conception d'un long fouet susceptible de titiller leur audacieuse résine et leur vibrante fibre de verre...

e. aimerait être le huitième de l'installation.

Il est certain que, depuis hier, nous ne regardons plus notre ville de la même façon.

Elle nous paraît désormais beaucoup plus folle, plus libre, plus moderne. Comme si nous avions traversé un espace-temps pour nous retrouver quelque part entre Barcelone, Paris ou Turin peut-être...

De nouveaux paysages du désir se profilent. Les campaniles, les grandes roues, le lacis des ruelles étroites de la vieille ville, les places ensoleillées regorgeant de cactus, les arcades majestueuses, tout semble transfiguré dans un nouveau territoire érotique et artistique, ouvrant la voie à l'aménagement de nombreux fantasmes...

vendredi 16 novembre 2007

corsé

Il est encore possible, en empruntant les chemins de traverse, de découvrir, au coin d'une rue, ces enseignes légèrement parfumées d'essences du temps jadis. Loin de la vulgarité des panneaux publicitaires de notre monde marchand, on se prend à rêver, on se laisse caresser par ces mains qui tirent malicieusement la corde, qui peut-être s'apprêtent à vous piéger.

J'imagine ainsi M., un jour, décider de cette cérémonie d'un bon d'âge raffiné et scénarisé. Des cordes de tout genre composeraient une robe de chanvre, une dentelle un peu serrée, légèrement moyenâgeuse, loin des saucissonnages de certaines pratiques, qui feraient parfois passer le sm pour une annexe de la boucherie Sansot.

Je serais ainsi enfin immobilisé, les demi-lunes relevées et exposées, prêtes à essuyer le feu des baguettes, badines et autres lanières de cuir. Prêtes, non pas à se tordre, à se dérober, à tenter une danse un peu balourde, mais obligées de s'ouvrir délicatement, contraintes d'esquisser des pointes - le cul en pointe, un défi - , amenées à littéralement se donner à la punition.

Immobilisé, mais aussi muselé, le châtié serait totalement dépendant du bon vouloir de la correctrice. Qui n'arrêterait son oeuvre qu'en fonction de sa fatigue ou des carmins obtenus sur son tableau de chair...

samedi 3 novembre 2007

Le bonheur est dans le pré

M. et e. ont profité de ce magnifique automne flamboyant pour prendre quelques jours de repos à la campagne. De quoi se reposer et se ressourcer avant d'affronter les rigueurs de l'hiver (e. en tremble déjà...). Au programme, promenades dans les champs et farniente au soleil. De jolies découvertes également comme cet étrange objet-appareil-jouet posé sur l'herbe d'un pré. M., qui a l'esprit très bien placé, y a vu un magnifique sex-toy, quoique hélas disproportionné... Elle imaginait très bien un paysan du voisinage, harassé par de longues heures passées au volant de son trépidant tracteur, venir s'y re-poser en toute discrétion... Quant à e., devant l'enthousiasme de M., il se mit à imaginer la réalisation d'un sex-toy maison pour amuser sa M-aîtresse (espérant également au plus profond de lui-même qu'elle s'amuse parfois à l'y empaler...). De quoi rejoindre la collection de Sex Machines photographiés par Thimothy Archibald (ici une interview avec photos de l'artiste) et exposée actuellement au Museum of Sex de New York... Amis du SM, à vos tournevis, perçeuse et marteau...

mercredi 31 octobre 2007

M. édaille

J'ai reçu ce très beau cadeau, offert par M. pour mon anniversaire. Non pas une médaille pour récompenser je ne sais quel acte de soumis héroïque. Mais plutôt une médaille d'obéissance.

Une médaille d'appartenance. Je suis à M. Je le porte sur moi. Je sens à chaque instant sur ma peau, ce signe de ma soumission. Il m'est interdit de l'enlever.

M. je vous aime. Je suis à Vous. Ordonnez et je m'éxécute. Ce magnifique présent renforce mon désir de m'abaisser à vos pieds, de contenter vos caprices les plus insolites, me donne la force d'accepter les punitions les plus sévères.

C'est un très bel anniversaire qui promet une année riche en sentiments et châtiments.

Pour l'heure, à l'occasion d'Halloween, une petite promenade en forêt dans ce pays , afin de rêver à de futures installations ?

vendredi 26 octobre 2007

Martiné

Qui ne se souvient pas des aventures de Martine ? Elle est de retour et même très tendance en ce moment, avec des détournements de couvertures sur le net. Les versions trash d'un certain "Tremechan" ne sont plus visibles, mais d'autres parodies sympathiques sont visibles ici. Vous pouvez même vous amuser à faire votre propre version. De notre côté, M. s'est amusée avec un mois de retard à annoncer le cadeau d'anniversaire de e. que vous découvrirez bientôt.

lundi 22 octobre 2007

Voie grenadine

Cela faisait un moment, qu'ici même, de message en message, il me le réclamait... (Un peu scandaleux, d'ailleurs, de voir un soumis provoquer sa M-aîtresse et suggérer une punition... Il a attendu et c'est bien fait pour lui...)

Je pense qu'il n'a pas été déçu. Son postérieur douillet semblait avoir oublié la douce caresse du fouet, et ses chairs sensibles n'ont guère attendu pour se mettre à rougir.

L'avalanche de coups a dessiné une bien jolie oeuvre sur la blanche toile de son petit cul : étoiles filantes en version écarlate, c'est une voie grenadine qui illumine ses demi-lunes et montre à e. le chemin de l'obéissance.

Allez, petit e-poucet, après avoir semé tes larmes rubis sur les sombres sentiers d'une forêt d'abres-badines, tu vas pouvoir te reposer : te voilà arrivé au château de M. l'ogresse...

lundi 15 octobre 2007

Manomètre

"Et mon coeur n'était que vos pas "...ou plutôt, en ce qui me concerne, "mon c...n'était que vos battements de mains", pour paraphraser le poète.

M. débordée, voulant de plus me mettre à l'épreuve, me soumets depuis quelques jours au terrible supplice de l'attente. Au piquet, réduit à craindre ou à espérer la leçon promise.

Je guette chaque indice, chaque geste, toujours en éveil. C'est ce qu'elle souhaite.

Quand serai-je délivré de ces visions de mains menaçantes ?

Un petit clin d'oeil au passage à la belle série estivale de bricabrac sur le même sujet.

vendredi 5 octobre 2007

Le dessous des cartes

Ce soir ou demain, c'est la rentrée de l'I.U.S.M. Au programme de cette première session : géographie. Gaïa à l'honneur, pour me faire tourner la tête. L'occasion pour M. de vérifier mes connaissances cartographiques (caps, péninsules, baies mais aussi viaducs, polders ou frontières), mon sens de la localisation et du dessin...Le prétexte aussi, une fois par mois, au-delà des punitions ponctuelles du quotidien, de solenniser un petit scénario corsé qui me permettra d'expier tous mes manquements aux règles du contrat M. et e. - contrat purement oral, nous n'avons rien signé.
Je dois avouer un peu craindre ce rendez-vous. Cela fait un moment que je n'ai pas été tanné, et généralement après ces moments d'abstinence fouettante, ma Domina redouble de sévérité. J'ai déjà quelques consignes à respecter - outre réviser mon atlas : me présenter à l'examen, ou soutenance, en tenue blanche ( boxer, tee-shirt, chaussettes ou collants, short). Je ne sais encore quels seront les instruments determinés pour d'éventuels châtiments ( mes connaissances en la matière et mon anxiété ne laissent guère présager un sans fautes)...Quant à la tenue de M., j'en ignore la dominante ; classique et rétro façon Vidal de la Blache ou moderne et déstructurée genre "nouvelle géographie" ?
La badine, le fouet ou le battoir seront tirés au sort au début de la cérémonie. Je sais déjà qu'un baillon et des cordes seront de la fête. Pour cette occasion, M. n'a pas l'intention de gérer mes gesticulations et esquives, et souhaite m'attacher pour contrôler tranquillement les flux de ses lanières de cuir sans réveiller le proche voisinage.
Enfin, je le crains, M. saura satisfaire son art de la prise de vue et son sens de l'esthétique pour publier les plus belles cartes de mon c...recouvertes de diverses couleurs et marquées plus ou moins profondément de belles interfesses et de jolies courbes de niveau...Vous voyez déjà le topo.

dimanche 30 septembre 2007

Lacets de fer

Une petite carte postale encore très estivale pour aborder l'Automne en douceur.
Dans son corset de métal, cette jeune femme semble méditer et prendre son temps... Un peu comme nous, qui, débordés, négligeons un peu la publication. Allez, on promet de s'appliquer dans les prochains messages.

dimanche 16 septembre 2007

En mêlée

On ne pouvait pas échapper au culte du ballon ovale (précisons tout de suite que nous aimons ce très beau sport). Les publicitaires en font un peu trop au niveau marketing en ce moment et les joueurs ne semblent pas très à l'aise dans ce nouvel exercice ( sponsors à gogo, même le grand Zizou qui s'y colle, calendriers érotico-kitsch, séquences émotion dans les vestiaires, dossiers "les femmes et le rugby" dans les magazines, nous voilà servis).

Mais il faut reconnaître que c'est un juste retour des choses et une reconnaissance médiatique bien tardive pour un sport qui le mérite. Alors ne boudons pas notre plaisir.

Désormais cela ne plaisante plus. C'est du sérieux, c'est de l'art même quand on voit évoluer les équipes de l'hémisphère Sud. Ah, ces corps entrelacés pour une danse du muscle et de l'intelligence ! Car les règles sont aussi subtiles que celles d'un beau scénario sm. Comment ne pas approuver le fait que la balle doit être envoyée en arrière ? Comment ne pas vibrer au rythme des mêlées ondulant parfois sur le terrain comme un animal sauvage ? Comment ne pas rêver et trembler face à ces plaquages francs et sévères ? (e. pense à des entraînements très SM avec une équipe de dominas intraitables auxquelles il chercherait à échapper : plus fort que les séances du SM Football Club). Et M. a un faible pour la fréquence des pénalités. Deux poteaux, une cravache et ces beaux gaillards qui n'attendraient qu'elle...

Pendant ce temps-là les Bleus se rattrapent de la déconvenue face aux Pumas en donnant la fessée aux pauvres namibiens. Ah, les percées du grand Chabal (quel homme !), les courses élégantes de Michalak...On en redemande avec de beaux quarts de finale face aux majestueux All Blacks ou contre des Ecossais en kilt...

mardi 4 septembre 2007

mardi 28 août 2007

carte postale

Dernière carte postale et dernier clin d'oeil de vacances : ces dames joyeuses nous invitent à aborder septembre avec beaucoup d'entrain.

Faisons sauter les bouchons et jaillir le champagne ! Tchin !

vendredi 24 août 2007

sm dans le tiroir

Avec la rentrée qui approche, M. et e. ont des envies de rangement et d'aménagements.
Mais nous nous heurtons à une question cruciale : quid de nos accessoires bdsm ?
Plusieurs options :
1) Dans un tiroir fermé du dressing, entre jupes, jeans, bas et culottes. Avantage certain : la discrétion. Inconvénient majeur : un accès difficile et peu spontané. Qui plus est cravaches et martinets aux formats différents ne trouvent pas forcément leur place et un épanouissement de leurs formes.
2) Le "râtelier" à fouets et badines, exposé dans le séjour. Avantage à la déco si on trouve un petit meuble ancien à restaurer, et la disponibilité immédiate pour tout scénario. Inconvénient : un risque de banalisation érotique, et la possibilité que le cousin Gaston s'amuse avec les cravaches après un bon repas. Compliqué quand on reçoit des amis vanilles.
Amis lecteurs aidez-nous, et faites-nous part de vos solutions en la matière.

lundi 20 août 2007

cauchemars de e. (suites)

Les cauchemars de e. ne sont pas terminés. Il sait que d'autres corrections sont à venir.
Et l'image de ces battoirs géants, aperçus dans le même musée estival, continuant à le visiter, n'est pas pour le rassurer.
Heureusement, il se souvient également de ces élégantes et mutines jambes de métal, qui semblent l'inviter à accepter son sort avec plus d'insouciance.

mercredi 15 août 2007

Carte postale

C'est l'été, propice aux jeux de plein air, et aux corrections brûlantes et naturelles. M., chaussée de ses bottes en caoutchouc et de sa cravache, joue à cache-cache avec un e. en mauvaise posture...

vendredi 10 août 2007

Cahier de vacances (3)

Un détail insolite mérite d'être relevé sur cette image. Combien de secondes vous faudra-t-il pour le trouver ?

lundi 6 août 2007

Fenêtre sur cul

Fenêtre ouverte sur votre cul mis à nu. Voisins, fermez les yeux, je punis e... Ciel, me voici exposé, sans même la dentelle d'un rideau pour me couvrir ; toute pudeur envolée, je suis la proie de la brise qui hérisse mon épiderme sans défense... Trop de bétises, de désobéissance ! Vous voilà sans défense pour recevoir, enfin !, la punition promise. Trois coups de cravache, le rideau est levé, le spectacle commence ! Sacrebleu, je ris jaune, à quelle sauce mes fesses vont-elles être mijotées ? A la mode géranium rose, ou façon géranium rouge comme sur le balcon d'en face ? Ma main pétrit la chair de votre cul mignon à grands coups de battoir. J'y jette des brassées de fleurs écarlates sous les yeux effarés de la voisine d'en face. Et bien, que voulez-vous ? Il n'a pas été sage ! Bigre, je suis soudain moins frondeur et bravache sous les coups répétés du battoir et de de la cravache, décuplés par les dizaines de paires d'yeux, que j'imagine gourmandes et moqueuses au balcon, et je contracte mes chairs, contrôle ma respiration pour supporter l'avalanche qui ne fait que commencer... Les villageois, devant un tel spectacle, se gondolent amusés sur la toile de jouy tandis que e. réclame ma clémence. La voisine d'en face va finir par noyer ses géraniums... Rideau ! Et moi, à force de me tortiller sous les lanières, je risque, de ma trique écarlate arroser de semence ses géraniums...Ris d'eau ! M. et e.

dimanche 5 août 2007

Le cauchemar de e.

M., un brin perverse, a décidé de différer encore un peu les punitions annoncées pour mieux maintenir e. dans un état de tension et d'appréhension...
Elle a poussé le vice jusqu'à lui imposer la visite d'un musée des plus suggestifs dans une de nos villes-étapes. Consacré à l'outil et à la pensée ouvrière, c'est un vrai bonheur en ces temps où le "travail" renvoie à d'autres références moins sympathiques...
Ce fut surtout un long calvaire pour e., qui n'a pu s'empêcher d'imaginer devant chaque vitrine l'usage que M. pourrait faire des différents objets exposés...
Sa nuit fut agitée, traversée de cauchemars où limes et râpes en folie venaient le chatouiller sans ménagement dans ses plus intimes recoins. Poursuivi par un escadron de truelles menaçantes, il se réveilla en sueur et en poussant des petits cris, à la plus grande joie de M. qui assistait en souriant à la première des punitions, sans avoir même à se fatiguer...

vendredi 3 août 2007

Armoire à glacer

Nous sommes repartis sur les routes pour quelques jours, cap au Nord. Pas question pour autant de retarder la punition de e. Au vu de son lourd passif (voir message précédent), M. a décidé de l'échelonner en plusieurs étapes.

Pour commencer, et pour profiter de l'imposante armoire qui ornait notre chambre d'hôtes, séance de méditation à genoux et dans le plus simple appareil.

L'occasion pour e. de se préparer mentalement à l'avalanche de coups, qui ne va pas tarder à s'abattre sur son postérieur si sensible.

M. hésite encore sur le lieu mais n'oublie pas la suggestion de Dame, à savoir la fessée publique...

vendredi 27 juillet 2007

Cahier de vacances (2)

M. réussira-t-elle à retrouver sa cravache ?
e. l'a caché dans le labyrinthe du Donjon. Gare à lui lorsqu'elle aura retrouvé son chemin...

Cahier de vacances (1)

Aide e. à s'y retrouver dans le jeu des erreurs :
Combien y a-t-il de différences entre ces trois dominas en vacances ?
Petit exercice facile, pour (enfin !) commencer nos cahiers de vacances sm. Facile à emporter, à la plage, à la terrasse d'un café ou pour une promenade en forêt.
Cela risque de rapidement se corser dans les prochains numéros...
Question subsidiaire (pour le départage) : De ces trois dominas, qui est la plus sévère ?

mercredi 25 juillet 2007

Chemins de traverse

Promesses de gascons...nous évoquions dans le dernier message la réalisation de quelques pages de cahiers de vacances... Nous avons reporté ce projet, et profité de quelques jours apaisants, aux pieds de la belle montagne des Pyrénées (côté oriental), entre balades sur les petits chemins, découverte de prieurés romans, distillant cette belle "lumière profonde" , soulignée par l'austérité du schiste, qui contraste avec la finesse des chapiteaux dont le bestiaire est influencé par les échanges dans tout le pourtour méditerranéen. Nous avons aussi partagé les fêtes authentiques de cette région très ouverte - loin de tout folklore reconstitué ou d'un repli identitaire exclusif - Ainsi nous avons apprécié la Sardane, ronde millénaire, où jeunes et moins jeunes, dans un savant agencement des pieds - amis fétichistes, on vous prévient, c'est très complexe -, célèbrent paix et harmonie. Evidemment une version Sm, avec soumis en pénitence au milieu ,en cas de faux pas, n'a pas manqué de titiller notre imagination. De même les Castells, concours de pyramides humaines sur plusieurs étages, où les corps se mêlent et se sculptent ensemble pourraient donner lieu à des savoureux détournements...Enfin les chemins des peintres, sur la trace des "fauves", ont nourri nos paysages intérieurs de belles couleurs. Revenus sur nos terres, nous nous remettons au projet cahiers de vacances sm, et nous préparons de nouvelles cartes postales. En espérant que vous passez toutes et tous un très bel été.

dimanche 8 juillet 2007

Cahier de vacances (0)

C'est l'été : le temps des séries.
Celle de M. et e. s'intitule "Cahiers de vacances", en version sm bien sûr.
L'idée nous a été soufflée par l'ouvrage illustrant ce post, que nous vous recommandons. Idéal pour offrir à une belle-mère, un copain ou une copine, le nez dans le guidon dans le boulot, souffrant du stress de son patron, ou s'adonnant par un masochisme mal placé au culte du "travailler plus".
Notre version, un peu détournée, s'intitulerait "cahier d'exercices pour les soumis qui se laissent aller en vacances" ou "cahier de fantasmes pour M. sur transat". Dans chaque numéro des jeux, des tests, bref des activités ludiques pour stimuler l'imagination, les doigts de pied en éventail.
A suivre donc pour le numéro un, bientôt.

dimanche 1 juillet 2007

Carte postale

Pas de doute ! Ce sont les vacances !
La Vénus callypige regarde avec envie et décontraction la hampe du palmier...
Sea, sex and sun !
Bonnes vacances à tous !

vendredi 22 juin 2007

Faites de la Musique SM

Jour de l'été, jour de la musique, de toutes les musiques. Dominas et dominos, soumises et soumis à vos instruments !

C'est l'occasion d'entamer un spank rock endiablé, un whip tango ou une valse de la badine...

Sifflements, claquements résonneront sur les timbales de votre partenaire pour votre plus grand plaisir M.élomane.

Variez le rythme, le tempo, imprimez des notes de couleur sur votre partition vivante. Métissez les genres, du punk à Bach, pour la ou le rendre fou, faites de votre cravache un archet inspiré, rajoutez quelques cliquetis de menottes, et n'oubliez pas, bien sûr, les cordes...

Partez à la rencontre des autres, organisez un grand concert ouvert à tous dans votre auditorium-Donjon. Oui faites de la musique, un beau symbole, un beau rituel pour faire chanter l'été dans la joie et le partage, pour faire reculer ces tristes ondes qui ne savent que vanter des valeurs de repli, de travail ou d'exclusion.

mercredi 13 juin 2007

La morsure de la geôlière

Je n'aime pas que l'on me provoque ni qu'on me désobéisse.

Vous en voulez du cachot, vous allez en avoir !

Apprenez que la "morsure du serpent" sanctionnera désormais toute nouvelle impertinence de ce genre. Que cela vous serve de leçon ! M.

vendredi 8 juin 2007

cach-O cach-e.

Rêves de cachot... Ployant sous le faix des fautes commises, e. doit accepter la seule solution qui s'impose à M. Quelques heures de méditation et de pénitence le ramèneront à ses fondamentaux de soumis. S'interroger sur le sens du respect et des désirs devancés. Cesser de jouer avec la menace du châtiment par ses négligences trop souvent recommencées. Se plonger en lui-même pour rechercher la force qui l'anime, maîtriser les pulsions de son ego pour se dévouer davantage à l'Autre. Deux ou trois visites, dans la nuit, masquée, pieds nus, "mon coeur n'est que vos pas disait le poète", portant sur un plateau "la morsure du serpent", aiguiseront cette réflexion et dresseront un peu les chairs à vif. Le bruit sec et insistant de la grosse clef qui renvoie e. à sa solitude. Le cul en demi-lune rougie, un peu piteux, e. au fond de son cachot recevrait la visite de quelques esprits, démons, fées, visiteurs, amusés et curieux qui couvriraient le pénitent de quelques brocards humiliants, dans un état de demi-veille.

Encore animé de la venette d'une prochaine visite, il serait reveillé, à l'aube, par un bol de café fumant et quelques viennoiseries pour saluer cette épreuve et récompenser ses efforts...

Une nouvelle journée commence où e., neuf et tendu, dressé en cachette, peut se consacrer complètement au service de M.

Au risque d'augmenter la fréquence des visites dans sa chambre clandestine.

dimanche 3 juin 2007

Bonne fête des M.

Aujourd'hui, c'est la fête des M., de toutes les M.
m. est encore un peu jeune pour souhaiter cela en direct à son adorée et jolie M., il faut encore un peu patienter pour recevoir les pots de yaourt customisés, les colliers de bonbons et les porte-pyjama en macramé.
Elle s'associe donc à e. pour lui dire plein de aheu et de guééé, pour lui dire je t'M.
Pour lui dire combien ce rôle de M. est beau, fort et joyeux.
Pour lui dire qu'on s'amuse beaucoup avec e, qu'on adore les promenades dans la ville et dans les parcs.
Les passages ici sont un peu plus irréguliers mais e. va vite trouver une solution pour rédiger plus de messages.
On vous embrasse.
e. et m.

samedi 26 mai 2007

morsures et caresses

Les trois objets sont arrivés par la poste, dans les délais, pour l'anniversaire de M. Un peu surprise, dans un premier temps, par la forme inédite des paquets, elle a ensuite été ravie de découvrir trois nouveaux et adorables jouets qui viennent compléter sa collection d'objets punitifs. Avec un petit faible, ne serait-ce qu'esthétique, pour le premier, le fouet, qu'elle a tout de suite surnommé "morsure du serpent". Le seul nom est dissuasif...Il faut dire que le vendeur précise, par précaution "objet sévère"... Les deux autres sont, semble-t-il, plus ludiques ; le paddle se prêtera à merveille à des séances d'éducation anglaise, où ma mémoire des poésies de Rimbaud sera sans doute mise à l'épreuve, sinon au piquet. Quant à la joy cravache, ses vibrations électriques devraient permettre de glisser rapidement de la punition à des jeux coquins... L'attente est des plus excitante. Je ne sais quand M. décidera pour la première fois de tester l'un de ces trois objets. Elle laisse planer le mystère, entretient toutes les possibilités, tous les fantasmes, toutes les craintes. Je suis sûr d'une chose. Le jour où elle me fera venir, en slip blanc, au milieu de la pièce, yeux baissés, pour me dire "tu mérites aujourd'hui la morsure du serpent", alors, ce jour là, même pour cinq ou dix coups seulement, je tremblerai... e.

mardi 22 mai 2007

Fleurs de Cactus

C'était ce week-end la première édition de la Fête de la Nature. L'occasion pour M. de revêtir son tablier de jardinière et de faire un tour au jardin...

Jardin rêvé, jardin virtuel (nous n'avons que deux petits balcons), où les semis soumis poussent en silence sous le contrôle d'un épouvantail dominateur. Le jardin de M. et e. serait bien sûr un jardin éSème, conçu avec soin par M. pour l'agrément de e.

A la manière des jardins potagers, il serait composé de plusieurs plates-bandes thématiques : à la place d'honneur le carré des plantes à épines : cactées, rosiers, ronces des bois et chardons y poussent à foison, mêlant leurs dards acérés, sans oublier un pied de houx pour décorer e. pour les fêtes de Noël... C'est dans cet épais bosquet que M. envoit e. lui cueillir à mains nues de foisonnant bouquets. Elle aime le mariage étrange du chardon crépu et de la ronce des bois sur la table de son salon.

A la place de l'insipide pelouse des pavillons banlieusards, M. a laissé la partie centrale du jardin en herbes : c'est là que s'épanouissent les orties brûlantes et autres plantes urticantes, comme la berce du Caucase dont les fesses de e. peinent à oublier la sève mordante... M. a mêlé à cette mer de feu quelques poétiques touffes d'Adonis d'été au joli nom populaire de Goutte de sang et d'Agrostide ou Jouet du vent et lorsque le soleil couchant fait danser son pré rougeoyant, M. rêve en pensant à son jouet joli...

Dans un autre coin du jardin, plus sombre et plus humide, M. cultive ses plantes inquiétantes : les Drosera carnivores, l'Euphorbe noire ou le Datura tramoine, hautement toxiques, dont elle se sert pour préparer de mystérieux breuvages destinés à décupler les forces (et les formes de e....) ou des onguents magiques pour calmer blessures et morsures.

Enfin, sur la fenêtre de sa chambre, M. a installé des pots pour accueillir ses plantes fétiches, celles qui la font sourire quand elle ouvre ses volets le matin : la Bourse à pasteur, dont les fruits semblent vides à la palpation..., le Peigne de Vénus si joliment nommé, et la majestueuse Verge d'Or...

Si cette promenade buccolique vous a plu, allez donc faire un tour dans les jardins du Château de Miserey à côté de Giverny : il y a fort à parier que vous adorerez leur Enfer...

vendredi 18 mai 2007

Ouvert à toute proposition

Chère M.,

Dois-je vous avouer, voire vous confesser, que je me sens d'humeur très servile et soumise ces derniers temps ? Cela n'aura pas échappé à vos yeux vigilants...

Je suis ouvert à toute proposition...toute exploration...toute punition...

Pardonnez tant d'impudeur et tant d'ardeur !

J'ai des pensées polissonnes, pour ne pas dire cochonnes, je pourrais presque faire tourner l'étable avec mes rêves fantastiques.

Je fais aussi souvent le blog buissonnier, et, au détour d'un chemin, je rencontre souvent de bien jolies histoires, ici par exemple...

Alors je médite, j'imagine, je m'abandonne.

Je sors le coffre à toys et soigne la déco, les tissus, l'harmonie des couleurs...

Je me mets en scène, m'effeuille légèrement ; me cache, un peu honteux.

J'attends, exposé, offert et ouvert.

Je pousse déjà des petits cris intérieurs, comme un soliste appliqué qui répète le concert à venir.

Je tremble, très légèrement.

J'attends de tout mon corps tendu.

dimanche 13 mai 2007

A pieds joints

C'était hier la Sainte Achille, l'occasion, cette année encore, de célébrer talons et orteils...

Dans son carnet noir, e. a consacré un chapitre nommé "Pieds de nez" à ces extrémités : "Fétiche suprême, sujet délicat, car humiliant. l'objet du désir est à raz de terre, dégage parfois des parfums un peu forts. On renifle sa honte dans cette adoration sensible et fidèle. Il peut être difficile d'en parler, la gêne est parfois palpable, c'est un des enjeux récurrents du SM. Il peut cependant y avoir de simples regards qui signifient "Aux pieds, ne bouge plus" ou "enlève mes bas et lêche mes pieds (...)".

C'était donc l'occasion de tester son obéissance et sa dévotion. Une petite séance de soins a été organisée dans la salle de bains : lavage minutieux, massage à l'aide de crèmes variées et pose de vernis... Et pour finir, adoration suprême, e. a déposé son offrande sur les pieds de sa M-aîtresse.

jeudi 10 mai 2007

Seins de glace

Le soleil et la chaleur règnent déjà sur nos régions : les corps se dénudent, les oiseaux roucoulent et la sève montent dans les troncs prêts à une explosion de verdure... C'est le Printemps !

Pourtant, le jardinier prudent de doit pas oublier certains évidences du calendrier : demain, 11 Mai, débutent les saints de glace ( Saint Mamert, Saint Pancrace et Saint Servais) qui se traduisent fréquemment par un brusque refroidissement.

Gare donc aux semis-soumis, aux bourgeons précoces et aux fruits naissants ! La morsure de la Reine des Glaces risque de leur laisser des traces douloureuses. Les M-jardinières veilleront donc à rentrer les soumis les plus fragiles sous abri (cadenassé). Pour les autres, un paillage des pieds devraient suffire. Si la montée de la sève s'avérait trop avancée, la seule solution pour protéger les fruits de vos désirs consiste à les arroser au moment où les températures sont les plus basses : en gelant, l'eau se transformera en coquille de glace, maintenant ces rondeurs délicates à 0° et les protégeant donc du gel... N'oublions pas le dicton populaire : "Le premier des seins de glace, souvent tu en gardes la trace !"

Il est enfin à noter que dans les régions les plus septentrionales de l'hexagone, un quatrième Saint (Saint Urbain) prolonge le trio et appelle à la prudence jusqu'au 25 Mai. Ce n'est qu'ensuite seulement que les M-jardinières pourront pleinement profiter de leur soumis au jardin, de jour comme de nuit. "En Mai fais ce qu'il te plaît !" (Attention ce dicton ne s'adresse qu'aux M. et D. !)

M.

mardi 8 mai 2007

Diamant noir

C'était donc mon anniversaire. Et, à l'image de la "bougie ardente" qui couronnait gâteau et soirée, j'ai été fort comblée...
Le plus beau, le plus émouvant de tous les cadeaux offerts par e., fut sans nul doute ce carnet sanglé dans un ruban de satin.
Un livre mystérieux que je me hâtais de deshabiller, sous l'oeil curieux de nos voisins de restaurant...
A l'intérieur je découvris avec délice les récits débridés d'un e. très polisson, qui m'invitait avec audace, au fil des pages et des chapîtres, à pénétrer, en sa compagnie, dans l'univers magique de ses fantasmes les plus fous.
Je ne résiste pas au plaisir de partager quelques lignes avec nos lecteurs : Premières lignes du premier chapître : "Cartographier le désir... C'est lui, en face, stylo ou stylet fantasque qui guide l'encre de notre libido. Anamorphoses en noir et blanc. Choix esthétique. Arty. Andy Warhol ou Ben à la sauce essaime. Un côté viennois début de siècle, hommage à Wanda et Séverin. Tendance rock. Le noir est une couleur. Le blanc souligne nos élans imaculés. Le désir sans doute d'explorer des territoires plus ombres, plus sulfureux, plus sévères... Plus d'intensité, plonger dans le puits des désirs enfouis avec une lucidité mature..." Le reste je le garde pour moi, en attendant peut-être -sans doute- d'en réécrire les scénarii dans une réalité partagée et d'en coucher les récits illustrés sur les pages de nos CorrespondanceS Maîtrisées... Très cher e., merci pour ce superbe cadeau, diamant de sincérité serti dans la nuit de vos fantasmes. Je suis très émue et très fière. Je n'ai qu'une envie : continuer encore et encore à partager avec vous nos rêves les plus fous. Je vous aime ! M.

vendredi 4 mai 2007

Bougie ardente

BON ANNIVERSAIRE MON AMOUR.
JE VOUS M.
e.

mardi 1 mai 2007

Red balls

Ce soir, un grand moment de sport, une finale avant l'heure, dans une compétition aux accents très éducation anglaise.

Liverpool-Chelsea, ou une opposition de style et de couleurs :

- D'un côté les Reds, fondés en 1892, dans une ville ouvrière, berceau du rock et de la pop music, et bercée par la Mersey. Un club de tradition populaire, au jeu offensif, symbolisé par sa tenue. Bill Shankley, le manager de 1959, décida en effet que ses joueurs seraient désormais vêtus tout en rouge (short, maillot et chaussettes) pour impressionner l'adversaire. Aujourd'hui la fougue de Steven Gerrard, et les airs lunaires du géant Peter Crouch ont fière allure dans la surface de réparation du mythique stade d'Anfield. Nous ne devons pas oublier la triste finale de 1985, où les supporters du club avaient fait honte au football. Désormais Liverpool, après avoir été mis au ban quelques années, s'est bien racheté et a démontré dans les dernières éditions son amour du jeu et sa spontanéité, loin des calculs mercantiles ou du jeu fermé d'autres clubs. La devise "You'll never walk alone" fait appel à des valeurs de solidarité et de jeu collectif qui nous paraissent essentielles.

- De l'autre, Chelsea. les Blues. Fondé en 1905, ce club londonien s'installe dans les beaux quartiers de la capitale britannique. Depuis quelques années, il est devenu le symbole de l'argent au service du sport, en recrutant à grand renfort de millions les meilleurs joueurs du monde, et en choisissant comme manager un milliardaire russe. Ou l'ultra-libéralisme, balle au pied. Il y a d'ailleurs peu de supporters à Stamford Bridge qui peine à se remplir, ce qui fait penser à un des clubs de notre championnat hexagonal...Certes, l'équipe actuelle a fière allure. Essien (M. le trouve très beau), Drogba, Ballack, Makélélé, Chevtchenko sont de très grands joueurs. Mais suffit-il d'additionner les meilleurs sur le papier pour emporter la victoire ?

Nous le saurons ce soir. En attendant, nous affichons nos couleurs !

Verges de cuir (2)

A mes pieds, vous implorez ma clémence, ma cravache d'airain dispose de votre sort.

vendredi 27 avril 2007

verges de cuir

Nous sommes passés aujourd'hui devant une galerie dont la vitrine nous a donné envie d'entrer : le titre de l'exposition, "vierges de cuir", ne nous a pas laissé indifférents. Nous n'avons pas été déçus par les photographies du jeune artiste qui évoquent notre univers de façon baroque, entre fétichisme et mysticisme. Pour le découvrir, c'est ici.

Du coup, cela nous a donné envie de ressortir nos albums photo, et nous avons redécouvert une série que nous avions nommée "à mes pieds" dont voici un inédit...

Chez les amis, on trouve aussi de très belles photos, qui font écho à la thématique de ce soir. A découvrir ici.