mercredi 15 décembre 2010

cravache magique

On nous fait remarquer, avec pertinence, que l'automne touche à sa fin et que l'on ne voit toujours pas tomber, comme les feuilles, les fessées.
C'est vrai qu'en cette période de grand froid, cet exercice, à deux serait le bienvenu.
Hélas, il va falloir encore un peu de patience, pour voir les talons de M. et de e. le cul nu.
Peut-être à la faveur d'un conte de Noël ?
Pour l'instant, notre horizon bdsm est toujours brouillé, faute d'espace et de temps pour notre cher hobby.
Notre besoin de sommeil l'emporte sur la créativité des scénariis...
Nous ne nous résolvons toujours pas à fermer ce journal, même si nous sommes bien conscients de son manque d'actualité et d'intérêt...
A bientôt, qui sait, un coup de cravache magique et hop ! Nous lançon sun appel aux bonnes fées !

vendredi 5 novembre 2010

suites d'automne

Débordés, c'est notre refrain, on vous refait le coup à chaque fois.
Pourtant les sujets d'inspiration ne manquent pas.
La rentrée littéraire et ses sources d'inspiration. e. fantasme sur La naissance d'un pont, qui n'a rien a priori de sm, mais c'est comme ça.
Le mouvement contre la réforme des retraites bien sûr, nous sommes pour les 60 ans afin de continuer à donner de belles fessées en pleine forme et en toute liberté !
L'automne toujours recommencé et ses couleurs de plus en plus magnifiques.
Les nouvelles bottes et la robe sexy de M.
Et bien sûr les fesses rougies de e.
Tout cela va se traduire bientôt en image.
Les choses se mettent en place au moment opportun.
Merci en tout cas aux fidèles qui viennent nous visiter régulièrement.

lundi 11 octobre 2010

Danse de saison

L'automne est la saison des couleurs retrouvées...celles des feuilles qui tombent, des ciels qui se couvrent comme une coquette.
Tu aimes, en prévision des premiers frimas, décorer la maison en conséquence : bouquets adaptés, tiges piquantes ou non. Les tapis se déplient et se déploient, offrant un peu partout des possibilités de jeux, de calins ou de crachins, au pied de la cheminée ou du lit. Les tentures se font plus épaisses, jolies gêoles, rendant plus intimes des étreintes dont nous devons réapprendre l'alphabet. Loin des clichés monochromes de nos tap-tap préférés, tu revêts cette belle paire mélangée. Accompagnée d'un caleçon chipé dans mon tiroir et d'un pull à motifs écossais. Sensuelle et garçonne, imprévisible, chic et gitane à la fois, tu me donnes la main, me prends la main, et en ces temps de quarantaine rugissante tu m'offres un cadeau corsé. Les rubans sont un peu serrés, ce n'est pas pour me déplaire. Ta tenue décalée qui annonce d'autant plus un sacré déluge. Je sais alors que la danse sera des plus sportives. Et je n'ai plus qu'à lâcher prise, tout au bonheur d'être soi, tout contre la soie de ta peau, en attendant que la mienne ne se couvre de nouvelles couleurs.

vendredi 8 octobre 2010

Sm...art

Bruno Zach...
...est un sculpteur du début XXe des plus intéressants. Dans un style art nouveau/art déco il propose aux amateurs de bdsm de magnifiques bronzes représentant des amazones, des femmes à la cravaches, belles et sensuelles. La dernière a été repérée à Drouot. Elle est partie un peu cher. Mais on peut se contenter de regarder les images qu'on retrouvera facilement en googlisant.
C'était la brève chronique de M. et e. toujours fugaces mais néanmoins attentifs.

vendredi 17 septembre 2010

Rauque

Humeur rock. Ambiance conforme à cette nouvelle déco. Tu mets ta jupe écossaise, tes bas qui montent jusqu'aux genoux, un maquillage un peu trop marqué. Un CD dans la Platine, Iggy, les Stripes ou peut-être même les Pogues. Ce qui déterminera le rythme de la danse. J'en frémis un peu en battant la mesure. Et toi Pythie impassible, tu me fais attendre. je sais que tu vas rentrer sur scène. Et je risque de pousser des petits cris couverts par la musique. Oui, décidément, je m'embourgeoise un peu trop. Il faut trousser tout cela, dépoussièrer, hérisser un peu le poil et le cheveu.

jeudi 16 septembre 2010

Culin'air

Mes fesses sont blanches comme une orange Je les aimerais un peu prune Avec une lichette de figue Sur un air noisette pour être mené à la baguette Sobriété sans image(s) pour quelque temps encore. Les mots ont besoin d'être seuls pour annoncer, mieux sonner et mijoter.

vendredi 10 septembre 2010

back again

Nous sommes de retour. Une fois de plus. Les départs permettent de mieux revenir. C'était long cette fois, nous en convenons. Trois mois. Cela a passé très vite. Pour écrire il faut de l'inspiration et du vécu. Nous ne serions pas vraiment partis sans dire au revoir. Et là c'est la rentrée. Un moment toujours propice. L'occasion d'une nouvelle présentation, de nouveaux rythmes, de nouveaux jeux. Les feuilles et autres qui tombent. Des couleurs qui dansent. Des petits bruits qui se préparent. Des lectures qui stimulent. L'envie de revoir les ami(e)s virtuels mais chers de la toile. A bientôt. Back again annonce bien sûr de nouvelles images de back. Mais patience, il faut reprendre en douceur, pour éviter les claquages...;-)

mardi 8 juin 2010

pas de deux

M. est revenue. Mon coeur n'était que vos pas...Elle n'a pas trouvé le trésor. Il faut prendre son mal en patience. Je continue mes pages d'écriture. Le temps est un peu nuageux. Des envies de criques cachées, de petite escapade dans une île secréte, deux barques de pêcheurs, une table basse, un transat et un vrai repos tout bleu ponctué de quelques massages rougeoyants au couchant.

vendredi 4 juin 2010

Jeu de piste au jardin

Vendredi. Le journal de e. continue. 17h00 Trois pages d'écriture 18H00 Emotion durcissante. Vous me manquez. 18H 30 Préparation d'une quiche aux courgettes. 19H00 M. au fil. 20H Repas. 20 H30 Arrosage. Je prends votre rôle préféré. Une idée me traverse l'esprit. Je vais chercher un joujour à lanières dans le sac noir. J'entreprends de lui trouver une cachette...Dans le potager ? Près du rosier et de ses piquants ? De l'étendoir ? De la vigne et de son ceps tortueux ? 21H00 J'ai trouvé la cachette. Je vous imagine, tout en arrachant les mauvaises herbes, furetant pour trouver le trésor. Quand vous l'aurez déniché, fière de ce trophée sorti de la terre, vous irez le laver soigneusement au lavoir et vous entreprendrez de châtier le facétieux joueur. 21H30 Vite, j'ai perdu un peu de temps avec mes bêtises, mais je me remets au travail. Objectif deux trois pages. Il ne faudrait pas croire mais ce petit séjour en solo est avant tout sérieux...ce n'est pas de ma faute si ce que j'écris me donne parfois des idées !

jeudi 3 juin 2010

Journal (suite)

18H50 Douche - sage. 19H00 Coup de fil à M. 20H Plateau repas devant le JT 20H30 au travail 23H Trois pages de rédigées. 23H15 Dodo. Livre sur la relaxation pour accompagner Morphée. Jeudi 7h12 Lever 7H55 Rapide tour sur la blogosphère. Ne pas oublier de relayer la protestation contre la censure de l'essai d'A. Larue : http://www.mesopinions.com/Non-a-la-censure-antifeministe-petition-petitions-c957f843067cba8b2f6c444a22643e04.html 8h00 Au travail ! 9H30 Pause café. 11H30. Bonne session de travail, 4 pages 12H Petite escapade. 18H30 Retour 19H00 Nouvelles de M. 20 H Repas 21 H J'étends le linge. Instant tao d'harmonie avec la nature. 21H 30 Au travail. Moins productif. Je dois me ressaisir. Me concentrer. Sans heure Vous me manquez.

mercredi 2 juin 2010

Pieds de nez

Le fétichisme du pied est, généralement, l'apanage de la femme. Et pourquoi le soumis n'aurait-il pas droit à ce privilège ? Il montre rarement cette partie de son anatomie.

C'est sur ce pied de nez que j'ouvre cette chronique, où, pour quelques jours, e. est seul, laissé libre de tous ses mouvements.

L'occasion de tenir un petit journal de ses occupations en solo. Sur le mode de "j'essaie de ne pas faire des bêtises".

16H30 Rentré à la maison. Linge ramassé et plié.

17h00 Goûter rapide.

17 h15 Petit rangement

17H30 Lecture des mails.

18H En tenue pour aller faire un petit footing avant de se mettre au travail. Le prétexte pour exhiber ses pieds.

(A suivre...)

vendredi 28 mai 2010

Qui s'y frotte, s'y pique...

J'ai marché longtemps dans ce jardin luxuriant, admirant les massifs de fleurs et les arbres puissants, respirant les parfums capiteux et frissonnant sous le vent frais des ombres épaisses. Je me suis arrêtée devant ce couple étrange qui dansait sur la toile du ciel azur : lui, dressé fièrement, tout en armure et en piquant. Elle, drapée dans l'opulence de sa robe blanche, comme blottie à ses côtés. J'ai pensé à vous. A nous. A la caresse des épines sur votre peau. A la courbe majestueuse de ces hampes érigées et hérissées. Au jupon de rose soulevé par le vent. Aux amours piquantes de ces deux-là... Joli rêve printanier à partager avec vous dans notre jardin secret. M.

mercredi 26 mai 2010

coquinades

Il n'y a pas que la fessée dans la vie...quand même...

Une petite friandise à déguster en couple au détour d'une petite visite culturelle...

Bien que la Dame a l'air d'avoir bras et mains solides...

Sourires.

mardi 18 mai 2010

Effeuillage

Quel bonheur que de retrouver les beaux jours...la joie de se dêvetir ensemble. Une obligation pour e., une libération pour M. qui peut dans un fétichisme minimal être à l'aise pour lâcher ses coups...

Comme si la cravache était le prolongement naturel de son corps.

Bourgeons, rougeurs et démangeaisons en vue !

e. a pris de bonnes résolutions récemment, il a tout intérêt à les tenir durablement...

lundi 17 mai 2010

Bourgeon

C'est le Printemps. Cette fois il est là. Nous sortons de notre bois, de notre abri. Cela va fleurir.
Le M. et e. nouveau, toujours en construction, est en passe de repartir...Merci de votre patience.

vendredi 26 mars 2010

Nettoyage

C'est le Printemps. L'occasion comme le suggèrent la plupart des magazines de peaufiner sa décoration. Les chutes de pluie sporadiques invitent à soigner l'intérieur. On époussette, on range, on expose.
Il faut préparer l'espace aux nouveaux jeux de saison. Après les accessoires, place aux tenues...L'occasion de redécouvrir quelques fantaisies oubliées pendant les longs frimas...

mardi 23 mars 2010

formes de printemps

Boosté par le bourgeonnement de la nature et par les sympathiques messages reçus, e. se prend en main et reprend l'exercice pour garder la forme. Il se fait violence et tente de légèrement modeler sa silhouette filiforme en s'imposant des séries quotidiennes de pompes et d'abdos. Tout cela bientôt en images....

mardi 16 mars 2010

Pages et fesses blanches

Longues pauses puis, retour avec accélération et nouvelles poses. Espace-temps élastique, fait d'envies variables et de disponibilités plus ou moins menottées.
La tentation du renoncement est parfois vive. Accepter l'idée que le quotidien a pris le dessus avec ses grands bonheurs et ses petites contraintes. Jouir de l'instant présent et ne pas courir après l'illusion de jeux de plus en plus rares et fragmentés, appartenant de plus en plus au passé.
Et en même temps, il est difficile d'arrêter une si belle aventure épistolaire. Alors pour l'instant, au risque du décalage, du rythme saccadé, continuons ainsi avec quelques brèves, quelques instants de jaillissement coquin, quelques fessées volées.
C'est le Printemps qui arrive après tout et les sujets d'inspiration ne manquent pas.
- Le retour des sandales pour le grand plaisir fétichiste de e. voyeur dans les compartiments du train. Chaussettes multicolores et pied nus qui frétillent en liberté.
- La nature qui bourgeonne, les semis qui prennent et avec, le plaisir d'astiquer le poireau un peu plus souvent, en duo ou en solo.
- Les promenades en forêt qui reprennent avec parfois la possibilité d'un arbre et de ses branches noueuses, un pantalon qui glisse et une main leste qui redonne quelques couleurs à une arrière-garde un peu engourdie.
Oui, que de possibles encore !

jeudi 25 février 2010

Préparer le terrain

Une bonne correction doit savoir se faire attendre...le temps de méditer, en position. Préparation mentale et physique. l'occasion aussi pour M. de préparer les instruments.

mercredi 24 février 2010

mardi 23 février 2010

Et les gants...

Ces jolis gants, négligemment et curieusement posés sur une étagère, que signifient-ils ? Tu aimes que tout soit rangé à sa juste place...Dois-je y lire un signe, un message ? Celui de l'imminence d'une grande correction, de celles qui sont données, gantée ,avec la badine... Ou ne serait-ce qu'un leurre pour se jouer de moi, me perdre en conjectures ?

lundi 22 février 2010

Au ban, aux bancs (Part II)

Il est intéressant d'observer la diversité des éventuelles réactions.
Dans ce matin calme, la séance peut n'être troublée que par la caresse du vent, la fesseuse et le fessé, seuls et unis dans le silence, partagent intensement ce moment. Ils peuvent, grisés par l'immensité des possibles, continuer cette belle journée par une deuxième correction.
Il peut y avoir aussi le passage discret et légèrement amusé d'un couple de promeneurs. Des gens d'un certain âge, qui ont écouté Brassens et qui savent que les bancs publics et la fessée se rejoignent dans le même répertoire. Peut-être esquissent-ils juste un petit clin d'oeil, adressé autant à nous qu'aux souvenirs de leur belle et folle jeunesse.
Et puis on remarque ce joggueur un peu trop pressé qui augmente son rythme, réajuste son circuit pour passer un peu plus de nous, sans avoir l'air d'y toucher.
Oublions l'inévitable empêcheur de fesser en rond, qui s'approche, fait la morale, s'insurge et menace d'appeler le gardien. On le laisse s'agiter tout seul, il s'éloigne en pestant, et on pense que le gardien en question, encore au lit, à d'autres chats à fouetter.
Il nous faut un moment pour indentifier cette assise, au loin, cachée derrière un journal du soir, qu'elle lit de la première à la dernière page. Personnage hitchcockien de la scène, mystérieux, qui insensiblement, de banc en banc, se rapproche et soulève par intermittences le canard. Elle finit brusquement, comme tous les grands timides, par s'approcher d'un banc et nous déclarer sa passion pour ce que nous faisons. Un physique à "La discrète", une tenue sobre, sans âge. Elle se présente, prof de philo à l'université voisine, spécialiste de Freud, Deleuze et Derrida ; elle veut déconstruire notre expérience, l'examiner à la loupe pour les besoins d'un article. C'est la gloire assurée dans une revue confidentielle. Nous lui proposons de recommencer, enfin "nous", elle accepte, enthousiaste, sort son carnet de notes et s'assit en tailleur sur le banc juste en face. Ah servir la science...
Debriefing, critique dans le bistrot du coin autour d'un petit serré. Je sens la moleskine. Il faut que je change de jogging...

dimanche 21 février 2010

Bancs publics

Il y en a qui se bécotent, d'autres qui tricotent, se pelotent, se fessotent...
Les bancs publics sont accueillants, tous différents et propices à des jeux amusants et piquants.
Choisissez plutôt un quartier éloigné de chez vous, l'occasion de découvrir des endroits que vous ignoriez dans votre ville. Oh le beau parc ! Le bel immeuble ou l'intéressante devanture de vieille boucherie ! La recherche de La fessée, telle celle de la vague par le surfeur, ne doit pas conduire à ignorer l'environnement extérieur. Au contaire cette quête doit ouvrir les yeux, éveiller au monde. Vous pouvez aussi préférer faire cela lors d'escapades amoureuses dans une autre ville ou dans une campagne proche, ou lors d'un voyage à l'étranger. L'important est de bien choisir son banc. Le mobilier urbain est riche et varié. Vous pouvez avoir repéré l'endroit la veille. Il est important que ce banc soit à l'écart, dans un parc, derrière des arbres noueux, dans une petite rue peu fréquentée, ou sur un chemin de randonnée. Il faut trouver l'équilibre entre la possibilité de se faire surprendre, et la provocation ou l'exhibition, risquée et pouvant manquer de poésie. Le matin semble le meilleur moment pour ce rendez-vous. Outre les vertus tonifiantes de la correction, qui ne sont plus à démontrer, tant pour les fesses du récepteur que pour les bras de l'émettrice, la ville s'éveille, est plus calme, et les éventuels passants sont souvent plus civilisés qu'aux heures de pointe. Vous pouvez accompagner votre soumis à l'endroit désiré, ou lui avoir indiqué le lieu de la punition et l'y rejoindre, après l'avoir fait un peu attendre. Il faut savoir vite réagir. Ne pas oublier donc de donner quelques indications quant à la tenue souhaitée. Un string voire rien du tout sous un pantalon de jogging - certes moyennement sexy, quoique - permet des effeuillages discrets et rapides. Evidemment la correctrice ne doit pas s'interdire de prendre un petit martinet portable dans son sac à main, pour compléter la fessée, si le contexte s'y prête.
Et puis après, quel plaisir d'aller déguster ensemble, yeux dans les yeux, un bon café et un croissant, dans une nouvelle brasserie !

samedi 20 février 2010

Voyage intérieur

Les rêves sont étranges et impénétrables...Ils se mêlent, surtout dans l'état de demi-veille du petit matin, aux fantasmes. Ainsi cette nuit, nous étions avec M. dans l'Orient-Express. En Liquette dans le décor Lalique. Le voyage se résumait à une longue suite musicale, où M. défilait en chaussettes. Elle m'exhibait une multitude de paires qu'elle changeait au gré des étapes. Mi-bas rayés noirs et blancs à Vienne, soquettes multicolores à Istanbul. Ebloui par ce spectacle je restais immobile, spectateur comblé, voyageant dans le voyage...De temps en temps, contrôleurs et contrôleuses, impassibles, venaient vérifier nos tickets et nous proposer café et croissants. Nous mangions en silence, les yeux dans les yeux, amoureux.

vendredi 19 février 2010

Quotidien

Nous sommes toujours là. Un peu débordés. Comme d'habitude, mais encore un peu plus que d'habitude. Nous sommes familiers de ces va-et-vient -sic- ce n'est pas une posture, ni une position mais une réalité. Il faut dire que le quotidien change quand le foyer accueille une nouvelle personne. l. rejoint m., M. et e...
Pardonnez-nous donc pour ce silence passager, avec les bourgeons du Printemps, des nuits un peu plus régulières et du café nous sommes sur le point de revenir en fanfare et en images...

dimanche 17 janvier 2010

Hand and Milk

La Main de M. est ma boussole. tantôt fesseuse ou fessante, tantôt caressante et joueuse. Cette main déliée qui d'un geste donne le là, montre la direction, prend les choses en [...]. Cette main nue qui par ses mouvements réinvente chaque instant. Cette main coquine qui en ce moment me tourmente et m'enchante, en cette période rituelle de Milking dans notre calendrier amoureux...

mardi 12 janvier 2010

Un maux, des livres

Résultat du concours, "Un maux des livres" : 1) Salammbô , Flaubert 2) Ulysse, Joyce 3) Mme Bovary, Flaubert 4) Du côté de chez Swann, Proust 5) Le Rouge et le Noir, Stendhal Bravo aux participants. Premier prix : Mrss Cassandre, brillante. Prix d'honneur : X. audacieux et persévérant.

jeudi 7 janvier 2010

Posture

Séance de pompes, attente du facteur ou préparation d'une punition ?!

mercredi 6 janvier 2010

Incipit

La littérature dite bdsm, inégale, parfois de qualité, reste souvent répétitive et manque de distance. On peut préférer repérer des allusions plus ou moins discrètes dans une oeuvre générale ( Ah ! la scène des Confessions de Rousseau avec Mlle Lambercier...), ou mieux encore, à la façon de l'OuLipo, détourner quelques passages, en jouant avec les maux. A vous d'identifier les débuts des grands romans qui suivent !
1) Les Dominas, portant des cothurnes de bronze, s'étaient placées dans le chemin du milieu, sous un voile de pourpre à franges d'or, qui s'étendait depuis le mur des écuries jusqu'à la première terrasse du Donjon; le commun des soumis était répandu sous les arbres, où l'on distinguait quantité de bâtiments à toit plat, pressoirs, celliers, magasins, boulangeries et arsenaux, avec une cour pour les éléphants, des fosses pour les bêtes féroces, une prison pour les esclaves.
2) Majestueuse et dodue, Fuck Sulligan, parut en haut des marches, porteuse d'un bol mousseux, sur lequel reposaient en croix battoir et glace à main.
3) Nous avions l'habitude, en entrant dans la salle à punitions, de jeter nos caleçons par terre, afin d'avoir ensuite nos fesses plus libres; il fallait dès le seuil de la porte, les placer sous le banc, de façon à se tenir contre la muraille, en faisant beaucoup de poussière; c'était là le genre.
4° Parfois à peine sa bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : "Je jouis."
5° A peine entre-t-on dans la ville, que l'on est étourdi par le fracas d'une machine bruyante et terrible en apparence. Vingt fouets stridents, et retombant avec un bruit qui fait trembler le pavé, sont élevés par une roue que l'eau du torrent fait mouvoir. Chacun de ces fouets fabrique, chaque jour, je ne sais combien de milliers de clous. Ce sont d'obéissants soumis, frais et jolis, qui présentent aux coups de ces fouets énormes les petits morceaux de fesse qui sont rapidement transformés en clous. Ce travail, si rude en apparence, est un de ceux qui étonnent le plus le voyageur qui pénètre pour la première fois dans les montagnes qui séparent la France de l'Helvétie.

mardi 5 janvier 2010

Saison de la fessée

Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille et aux soumis. Par un tel temps il est bon de rester chez soi au chaud. On dépose casquettes et parapluies, mais on garde les bottes. Et pour lutter contre langueur et monotonie, rien de tel qu'une bonne fessée qui sèche et réchauffe ! Avec un décor de toile de Jouy comme inspiration, c'est le pied...

lundi 4 janvier 2010

JE VOEUX ET J'EXIGE

2010 commence sans image. Rupture. Ce qui ne signifie pas que cela devienne une nouvelle règle de conduite, loin de là. Résolution n°1 : essayer d'écrire plus régulièrement, ce qui n'est pas très difficile. Résolution n°2 : ne pas laisser traîner ses affaires, surtout pour e. Résolution n°3 : toujours sourire, dans la peine ou dans la joie. Résolution n°4 : être toujours prêt à baisser son pantalon, qu'importe la raison ou le lieu, si M. l'exige. Résolution n°5 : ne pas prendre trop de résolutions, de peur de ne pas pouvoir les tenir. UNE TRES BONNE ANNEE SEVERAIMANTE A TOUTES ET A TOUS