jeudi 31 juillet 2008

La porte aux MétamorphoseS

Cette porte est une magnifique machine à remonter le temps et à tricoter les songes...
Un passage par les Annés Folles, puis par le XVIIIe, chers à M. et e., pour faire étape dans une charmante et fortifiée cité médiévale.
Dentelle et Satin, cheminant dans la fraîcheur d'un petit matin en montagne, croisent soudain Cuir et Chaîne.
M., reçoit d'un mystérieux messager un coffre, où elle découvre statuettes, bottes, gants, et long fouets tressés sur mesure.
Tout en caressant les lanières de ses nouveaux présents, elle observe les dernières étoiles qui s'étirent dans le ciel.
Foin des fessées avec fioritures, des fouettées aux falbalas, administrées avec soin dans les boudoirs de l'hiver...
C'est d'authenticité, d'austérité, de sobriété dont elle a envie désormais cet été.
De bonnes corrections qui claquent et qui calment, qui marquent le corps et l'esprit, qui déchirent l'aube silencieuse.
e. en pénitence aux oubliettes, tout ensommeillé, encore loin de tout cela, rêve d'un café corsé et d'une bonne baguette de pain chaud...

samedi 26 juillet 2008

Carte cochon

Notre Voyage aux Pyrénées : nous n'avons pas croisé l'Ours mais cette superbe fontaine...qui donne envie de se désaltérer, mais aussi de faire des cochonneries, de grosses cochonneries, toute la nuit, jusqu'à plus soif.

Une petite pause fraîcheur, avant les nouvelles étapes du joyeux périple estival de M. et e.

(A SUIVRE...)

mercredi 9 juillet 2008

Chambre avec vue

M. et e. prennent leurs quartiers d'été, direction leur donjon de vacances...
A bientôt pour des cartes postales envoyées de nos étapes.

Bonnes vacances à tous,

M. et e.

dimanche 6 juillet 2008

Sous les ponts d'Avignon

Diamant noir de la littérature érotique du XVIIIe siècle , Thérèse philosophe, le plus souvent attribué à Boyer d'Argens, est au programme du festival d'Avignon cette année. A ne pas manquer demain à 19H et à suivre ici pour tous ceux qui sont out du in ou du off :
Que le souffle d'un mistral libertin flagelle nos corps et nos esprits !
C'était la minute culture de e.