mardi 28 août 2007

carte postale

Dernière carte postale et dernier clin d'oeil de vacances : ces dames joyeuses nous invitent à aborder septembre avec beaucoup d'entrain.

Faisons sauter les bouchons et jaillir le champagne ! Tchin !

vendredi 24 août 2007

sm dans le tiroir

Avec la rentrée qui approche, M. et e. ont des envies de rangement et d'aménagements.
Mais nous nous heurtons à une question cruciale : quid de nos accessoires bdsm ?
Plusieurs options :
1) Dans un tiroir fermé du dressing, entre jupes, jeans, bas et culottes. Avantage certain : la discrétion. Inconvénient majeur : un accès difficile et peu spontané. Qui plus est cravaches et martinets aux formats différents ne trouvent pas forcément leur place et un épanouissement de leurs formes.
2) Le "râtelier" à fouets et badines, exposé dans le séjour. Avantage à la déco si on trouve un petit meuble ancien à restaurer, et la disponibilité immédiate pour tout scénario. Inconvénient : un risque de banalisation érotique, et la possibilité que le cousin Gaston s'amuse avec les cravaches après un bon repas. Compliqué quand on reçoit des amis vanilles.
Amis lecteurs aidez-nous, et faites-nous part de vos solutions en la matière.

lundi 20 août 2007

cauchemars de e. (suites)

Les cauchemars de e. ne sont pas terminés. Il sait que d'autres corrections sont à venir.
Et l'image de ces battoirs géants, aperçus dans le même musée estival, continuant à le visiter, n'est pas pour le rassurer.
Heureusement, il se souvient également de ces élégantes et mutines jambes de métal, qui semblent l'inviter à accepter son sort avec plus d'insouciance.

mercredi 15 août 2007

Carte postale

C'est l'été, propice aux jeux de plein air, et aux corrections brûlantes et naturelles. M., chaussée de ses bottes en caoutchouc et de sa cravache, joue à cache-cache avec un e. en mauvaise posture...

vendredi 10 août 2007

Cahier de vacances (3)

Un détail insolite mérite d'être relevé sur cette image. Combien de secondes vous faudra-t-il pour le trouver ?

lundi 6 août 2007

Fenêtre sur cul

Fenêtre ouverte sur votre cul mis à nu. Voisins, fermez les yeux, je punis e... Ciel, me voici exposé, sans même la dentelle d'un rideau pour me couvrir ; toute pudeur envolée, je suis la proie de la brise qui hérisse mon épiderme sans défense... Trop de bétises, de désobéissance ! Vous voilà sans défense pour recevoir, enfin !, la punition promise. Trois coups de cravache, le rideau est levé, le spectacle commence ! Sacrebleu, je ris jaune, à quelle sauce mes fesses vont-elles être mijotées ? A la mode géranium rose, ou façon géranium rouge comme sur le balcon d'en face ? Ma main pétrit la chair de votre cul mignon à grands coups de battoir. J'y jette des brassées de fleurs écarlates sous les yeux effarés de la voisine d'en face. Et bien, que voulez-vous ? Il n'a pas été sage ! Bigre, je suis soudain moins frondeur et bravache sous les coups répétés du battoir et de de la cravache, décuplés par les dizaines de paires d'yeux, que j'imagine gourmandes et moqueuses au balcon, et je contracte mes chairs, contrôle ma respiration pour supporter l'avalanche qui ne fait que commencer... Les villageois, devant un tel spectacle, se gondolent amusés sur la toile de jouy tandis que e. réclame ma clémence. La voisine d'en face va finir par noyer ses géraniums... Rideau ! Et moi, à force de me tortiller sous les lanières, je risque, de ma trique écarlate arroser de semence ses géraniums...Ris d'eau ! M. et e.

dimanche 5 août 2007

Le cauchemar de e.

M., un brin perverse, a décidé de différer encore un peu les punitions annoncées pour mieux maintenir e. dans un état de tension et d'appréhension...
Elle a poussé le vice jusqu'à lui imposer la visite d'un musée des plus suggestifs dans une de nos villes-étapes. Consacré à l'outil et à la pensée ouvrière, c'est un vrai bonheur en ces temps où le "travail" renvoie à d'autres références moins sympathiques...
Ce fut surtout un long calvaire pour e., qui n'a pu s'empêcher d'imaginer devant chaque vitrine l'usage que M. pourrait faire des différents objets exposés...
Sa nuit fut agitée, traversée de cauchemars où limes et râpes en folie venaient le chatouiller sans ménagement dans ses plus intimes recoins. Poursuivi par un escadron de truelles menaçantes, il se réveilla en sueur et en poussant des petits cris, à la plus grande joie de M. qui assistait en souriant à la première des punitions, sans avoir même à se fatiguer...

vendredi 3 août 2007

Armoire à glacer

Nous sommes repartis sur les routes pour quelques jours, cap au Nord. Pas question pour autant de retarder la punition de e. Au vu de son lourd passif (voir message précédent), M. a décidé de l'échelonner en plusieurs étapes.

Pour commencer, et pour profiter de l'imposante armoire qui ornait notre chambre d'hôtes, séance de méditation à genoux et dans le plus simple appareil.

L'occasion pour e. de se préparer mentalement à l'avalanche de coups, qui ne va pas tarder à s'abattre sur son postérieur si sensible.

M. hésite encore sur le lieu mais n'oublie pas la suggestion de Dame, à savoir la fessée publique...