lundi 15 octobre 2007

Manomètre

"Et mon coeur n'était que vos pas "...ou plutôt, en ce qui me concerne, "mon c...n'était que vos battements de mains", pour paraphraser le poète.

M. débordée, voulant de plus me mettre à l'épreuve, me soumets depuis quelques jours au terrible supplice de l'attente. Au piquet, réduit à craindre ou à espérer la leçon promise.

Je guette chaque indice, chaque geste, toujours en éveil. C'est ce qu'elle souhaite.

Quand serai-je délivré de ces visions de mains menaçantes ?

Un petit clin d'oeil au passage à la belle série estivale de bricabrac sur le même sujet.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Voilà donc ce que vous étiez en train de faire, hier soir, alors que je vous pensais en plein travail ?!!
Comment vous punir, alors que vous palliez fort bien à la défaillance de M. et e. (où sont passés nos textes à quatre mains ?) et de M., débordée c'est vrai...
Et pourtant, votre punition, tant redoutée et tant attendue... ne saurait tarder...

M.

M. et e. a dit…

Message bien reçu chère M.
Je me prépare mentalement à cette sévère échéance, et repasse déjà slip et chaussettes blanches...

e.