lundi 5 juin 2006

enluminure

enlacés sur la grille au détour d'une rue

nous délaissons les alcôves pour déambuler dans la ville

où un oeil exercé peut trouver des merveilles,

se perdre et redécouvrir sans cesse,

inventer un monde à partir de petits riens

La cravache de fer forge nos fantasmes les plus fous

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Monsieur Blogspot,

Ce n'est pas très gentil d'embêter M. Elle avait rédigé un joli message et toc, d'un coup, vous l'avez fait disparaître de l'écran : plus de traces. Attention sinon, e. va se transformer en chevalier E., et ça va barder !
Outre le net qui bugge un peu, la bécane qui a besoin d'un disque dur externe, because toutes les photos commencent à peser lourd, la publication est un peu compliquée en ce moment.
En espérant que nos chers lecteurs ne sont pas trop gênés dans leur navigation.
Bonne journée à Vous, chère M., bon courage.
Votre e.gène à votre service pour Vous plaire.

Anonyme a dit…

PS : J'ai fini d'étendre le linge.
Je peux repasser vos petits hauts et vos dessous si vous le souhaitez...vous pouvez m'indiquer vos souhait-exigences.
Voulez-vous un journal particulier ?

e.gène, homme de maison pour une M. très active.

M. et e. a dit…

Merci très cher e-gène...

Vous êtes un merveilleux homme d'intérieur !

M-débordée