Voici venu le temps de l'été, synonyme de vacances et de détente. Et pourtant, revers d'une curiosité gourmande et éclectique, cette saison peut aussi apporter son lot d'hyperactivité.
Les longues journées sont bien remplies par l'actualité sportive, sur le terrain comme sur le canapé. C'est aussi l'occasion de séances plus studieuses, où M. et e. peuvent se plonger dans leurs recherches respectives.
Sans oublier le bricolage : tant de petits travaux et d'aménagements négligés pendant l'année. Au programme, les placards. Délicieuse perspective, où joignant l'utile et l'agréable, nous pourrons insérer quelques éléments incongrus de décoration, quelques accessoires de suspension.
Il ne faut pas enfin oublier les relations sociales. La fin du mois de juin et le début de juillet voient pleuvoir les invitations : relations de travail, copains, amis, activités associatives...autant d'occasions fort sympathiques de convivialité mais activités très prenantes : nous sommes rarement dans le Palais de M. et e. en ce moment.
Il faut bien sûr garder un peu de place pour la blogosphère, aller lire tous nos cybercompagnons, rédiger une petite note, et surtout laisser un peu, beaucoup de place au rêve, à la folie, à l'évasion dans d'autres univers, à la construction de scenarii insensés, à la réalisation de costumes et de situations toujours imprévus...mais à ce sujet je dois céder le clavier à M. qui va continuer en illustrant ce message de ses notes précises, pimentées et délicates...
Ouvrons donc un peu nos placards et explorons leur univers foisonnant...
Béance des vacances. Liberté retrouvée.
Nudité estivale. Il est temps d'abandonner l'austère costume du travail. Ne déguisons pas nos désirs !
Entre deux pull-overs, des anneaux de métal ;
cravatant vos chemises, les chaînes étincellent,
de quoi m'attacher vos services de bricoleur !
Le tourbillon des impératifs tresse de jolis cordages
auxquels nous aimons attacher un semblant d'importance...
Pour jouer à glisser de liens en liens, de loin en loin...
Pour rebondir. Et filer en roue libre sur les routes de France...
2 commentaires:
Et comme tous bons azuréens qui se respectent, fuir la Riviera à sa haute saison pour éviter le flux massif des envahisseurs...
C'est amusant aussi de jouer les touristes dans sa propre ville !
M. et e.
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