Blog écrit à deux mains, voire quatre. Pour le plaisir des mots et des yeux. Inutile de surligner, laissez vous guider par leS Majuscules... Nous tenons à avertir les visiteurs du caractère "érotique" de certains écrits et de certaines photos. Ce blog est donc réservé aux adultes, à un public majeur. Nous déclinons de plus toute responsabilité sur les commentaires laissés par les lecteurs. M. et e. et parfois aussi e. et M.
vendredi 30 septembre 2005
Rouge SF
mardi 27 septembre 2005
A vos plumes...prêts, partez !

lundi 26 septembre 2005
Dans l'intimité d'un boudoir-écritoire...

dimanche 25 septembre 2005
Post Correspondances (I), compte-rendu.
jeudi 22 septembre 2005
Ballade automnale
mercredi 21 septembre 2005
Correspondance, correspondances...

lundi 19 septembre 2005
Au bois, rêvant...



dimanche 18 septembre 2005
à l'ombre d'un chêne...

PatriMoineS
samedi 17 septembre 2005
Ne pas oublier !!
jeudi 15 septembre 2005
La table est mise

mardi 13 septembre 2005
Le nom du canard

dimanche 11 septembre 2005
Dans le bleu de la nuit...

Sans titre

vendredi 9 septembre 2005
Desesperate Housewifes (2)
Desesperate Housewife (1)
Première diffusion hier soir, sur Canal +, de la série américaine Desesperate Housewife. J'ai abandonné torchons et fer à repasser pour regarder.
Les murs des pavillons résidentiels des banlieues françaises doivent encore en trembler. Susan, Lynette, Gabrielle et Bree dépoussièrent au Karcher l'image d'Epinal de la femme au foyer et nous plongent avec un humour féroce dans la monotonie cauchemardesque du quotidien.
Faire les courses, faire le ménage, faire des lessives, faire le repassage, faire la cuisine, faire la vaisselle, faire les courses, faire le ménage...Litanie infernale et sans fin...
Dans laquelle les hommes jouent le rôle de l'éternel bourreau : mari riche et méprisant pour Gabrielle, mari "reproducteur" et éternellement absent pour Lynette, mari insatisfait d'avoir une femme parfaite pour Bree et mari envolé avec une autre pour Susan la divorcée...
Face à ce constat amer, ces femmes désespérées ne nous proposent pour l'instant que peu de solutions excepté peut-être de prendre un amant en la personne du jardinier et d'en profiter dès que Monsieur s'absente, ce qui a un inconvénient majeur : le jardinier ne s'occupe plus du jardin et il faut tondre la pelouse à sa place.
En attendant les prochains épisodes, je suggère à ces dames quelques solutions : prendre le pouvoir et inverser les rôles.
e. a passé une jupe pour l'occasion et revêtu des bas noirs. Il passe l'aspirateur avec application.
M. est derrière son fourneau, armée de sa spatule en bois.
Le serpent de l'aspirateur danse sur le damier de carrelages, la spatule s'agite, tourne et frappe.
Nous avons tout le temps avant que les invités n'arrivent...
mardi 6 septembre 2005
Piédestal

lundi 5 septembre 2005
Cuisine et dépendance


samedi 3 septembre 2005
échos au Savoir-faire Ménager

Savoir-faire Ménager

"Je l'ai rencontré par l'intermédiaire de l'APSM- Association pour la Promotion du Savoir-faire Ménager. Il est chargé de mon intérieur - Je viens d'emménager dans un 90 m2 délabré et j'ai bien besoin d'un homme à tout faire.
Je l'ai choisi avec attention : grand, mince, le cheveu blond et l'oeil vert. Appliqué et obéissant.
J'ai exigé qu'il fasse le ménage uniquement vêtu d'un petit tablier blanc, ce qui me permet de profiter de son petit cul lorsqu'il s'agite autour de moi avec son joli plumeau rose.
L'Agence m'avait conseillé la plus extrême fermeté à son égard, ce que je me suis employée à respecter. Il est très distrait, et cela pose d'évidents problèmes. Je suis donc fréquemment obligée de réagir avec rigueur. Il en a pris l'habitude. Il connaît la "procédure" par coeur. Je me demande même s'il ne fait pas exprès pour être puni.
Il s'agenouille devant moi sur un coussin et je lui attache les poignets pour éviter toute protestation éventuelle. Je lui demande alors s'il connaît la raison de sa punition et il me répond par l'affirmative en racontant l'épisode qui a déclenché ma colère.
Je lui demande si c'est acceptable et il reconnaît de lui-même qu'il est nécessaire qu'il soit puni de la plus sévère manière. J'aime quand il baise mes pieds en implorant mon pardon et en m'appellant "Maîtresse !", tout en sachant très bien qu'il n'échappera pas au martinet qu'il est allé lui-même chercher dans le placard avant le début de l'interrogatoire.
Je sais qu'il commence à frémir en me voyant soulever le manche de métal argenté. Son cul se soulève et tressaille et sa respiration devient plus bruyante. Le premier coup est le plus délicieux. Je l'attends et le prépare soigneusement. Je frappe sur le rond de la fesse pour que cela claque mieux. Les lanières de cuir virevoltent dans l'air et dessinent de jolies zébrures sur sa chair rosée.
Il ne crie jamais. Il s'applique -comme je l'exige- à compter consciencieusement les coups et gémit parfois.
Souvent en fait.
Quand les coups deviennent plus rapides, plus réguliers, ses petits gémissements accompagnent le rythme implacable du martinet, et son cul aussi, qui se soulève et qui ondoie sous le serpent de cuir.
Je m'oblige à des pauses.
Pour ne pas me laisser emporter par ma fougue. Et pour profiter du spectacle : marbrures et zébrures dessinent un paysage étrange dans un camaïeu étonnant de rose et de rouge sur la rondeur de ses fesses. J'aime y promener mes mains pour en palper la brûlure. Pour m'approcher au plus près de lui et sentir son souffle chaud et haletant sur mon visage. Pour mesurer d'une caresse furtive la raideur de son sexe contre le tablier blanc.
Il sait que je sais.
Il ne dit rien. Il garde les yeux baissés et attend que je reprenne les coups. Et nous restons un instant immobiles, interdits, comme suspendus aux lanières de ce désir-martinet...
J'aimerais frapper jusqu'à ce qu'il ne puisse plus se contenir, jusqu'à ce qu'il explose, et sentir son sperme chaud couler sur ma jambe.
Je ne dirais rien. J'attendrais simplement qu'il me dise la phrase rituelle pour le détacher : "c'est promis, Maîtresse, je ne le ferai plus"".
M.