mercredi 19 octobre 2005

Telle est ma réponse. Les mots se couchent au pied de l'arbre et écoutent les bruisilences de la nuit naissante. Caspar David F. était sensible au thème de l'homme solitaire face aux forces de la nature...la contemplation des grands espaces...je reconnais là votre humilité face à la majesté des grands espaces. Mais vous n'êtes pas seule, je me métamorphose, libellule, hibou, chat, coccinelle, cocker, mangouste, marsupilami, iguane...je me transforme à loisir pour mieux être près de vous, pour être l'animal de la situation. Ce soir je suis un Impala. Masculine antilope aux bois de lyre... Caresse, cravaches et couinements rougissants avancent en direction de votre grotte-placard... Diversion, inversion, immersion... E.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

J'accroche rubans rouges et lacets de cuir noir aux branches de cet arbre... Me pendre à votre cou et oublier tout le reste. Soirée champagne ce soir, Troyes pétille dans ma tête, jolies bulles, bientôt, avec vous... Concours de fléchettes, nappes à fleurir de mots et de dessins, souvenirs si proches et si lointains... "Nous" est devenu si fort, je trouve, c'est drôle. C'est beau.

"Vous" devenez une évidence... Et je l'ai toujours su !!

Anonyme a dit…

Je découvre ... Les mots sont sublimes et envoûteurs tout comme le design ...
Joli Chemin entrepris ...
Bonne continuation, je repasserai si vous n'y voyez pas d'inconvénients.

M. et e. a dit…

Chère Mademoiselle,

votre visite et vos compliments nous touchent et nous font grand plaisir...
Revenez quand vous voulez...

A bientôt !

M.