J'ai reçu ce très beau cadeau, offert par M. pour mon anniversaire. Non pas une médaille pour récompenser je ne sais quel acte de soumis héroïque. Mais plutôt une médaille d'obéissance.
Une médaille d'appartenance. Je suis à M. Je le porte sur moi. Je sens à chaque instant sur ma peau, ce signe de ma soumission. Il m'est interdit de l'enlever.
M. je vous aime. Je suis à Vous. Ordonnez et je m'éxécute. Ce magnifique présent renforce mon désir de m'abaisser à vos pieds, de contenter vos caprices les plus insolites, me donne la force d'accepter les punitions les plus sévères.
C'est un très bel anniversaire qui promet une année riche en sentiments et châtiments.
Pour l'heure, à l'occasion d'Halloween, une petite promenade en forêt dans ce pays là, afin de rêver à de futures installations ?
Blog écrit à deux mains, voire quatre. Pour le plaisir des mots et des yeux. Inutile de surligner, laissez vous guider par leS Majuscules... Nous tenons à avertir les visiteurs du caractère "érotique" de certains écrits et de certaines photos. Ce blog est donc réservé aux adultes, à un public majeur. Nous déclinons de plus toute responsabilité sur les commentaires laissés par les lecteurs. M. et e. et parfois aussi e. et M.
mercredi 31 octobre 2007
M. édaille
vendredi 26 octobre 2007
Martiné
lundi 22 octobre 2007
Voie grenadine
Je pense qu'il n'a pas été déçu. Son postérieur douillet semblait avoir oublié la douce caresse du fouet, et ses chairs sensibles n'ont guère attendu pour se mettre à rougir.
L'avalanche de coups a dessiné une bien jolie oeuvre sur la blanche toile de son petit cul : étoiles filantes en version écarlate, c'est une voie grenadine qui illumine ses demi-lunes et montre à e. le chemin de l'obéissance.
Allez, petit e-poucet, après avoir semé tes larmes rubis sur les sombres sentiers d'une forêt d'abres-badines, tu vas pouvoir te reposer : te voilà arrivé au château de M. l'ogresse...
lundi 15 octobre 2007
Manomètre
"Et mon coeur n'était que vos pas "...ou plutôt, en ce qui me concerne, "mon c...n'était que vos battements de mains", pour paraphraser le poète.
M. débordée, voulant de plus me mettre à l'épreuve, me soumets depuis quelques jours au terrible supplice de l'attente. Au piquet, réduit à craindre ou à espérer la leçon promise.
Je guette chaque indice, chaque geste, toujours en éveil. C'est ce qu'elle souhaite.
Quand serai-je délivré de ces visions de mains menaçantes ?
Un petit clin d'oeil au passage à la belle série estivale de bricabrac sur le même sujet.