lundi 17 juillet 2006

Vacances essaiment en TandAime...

Nous n'avions pas disparu !

Nous étions simplement totalement absorbés par la préparation de notre bel esquif.

Et nous voilà prêt à prendre le large !

Cap vers l'aventure, moussaillon e. !

Prêt à affronter les sirènes qui se déhanchent sur leurs scènes, dansent sur le pont et les corsaires qui partent à l'abordage des remparts au son du biniou ?

Prêt capitaine M. ! Je largue les cordes et remonte l'Ancre colorée de nos rêves sous-marins les plus iodés et les plus fous...

Le sextant pointé sur les fesse-tivals de l'Eté ! A babord et tribord toutes ! On commence par le 60 ème rugissant, en vibrant dans la cour d'honneur, puis on gravit la blanche Montagne pour être fouetté par le mistral, et enfin on file avec notre boussole orientée vers l'Ouest pour se déhancher dans nos petits maillots de bain en cuir !

Nous devrions revenir avec nos filets remplis de jolis souvenirs, notre soute pleine de scénarios inédits et mystérieux....

A très bientôt, vous l'aurez compris, M. et e. prennent des vacances.

Bises à toutes et à tous. N'hésitez pas à nous laisser des petits cailloux, des tas de sable, ou des coquillages comme trace de votre passage estival.

See you soon à la fin du mois d'août !

vendredi 7 juillet 2006

Vague bleue

C'est la valse des drapeaux. La preuve que pavoiser n'est pas nécessairement le signe d'un nationalisme borné. PS : le détail pour les supporters fétichistes : les tongs tricolores...

samedi 1 juillet 2006

cyclist-e

Alors que la rue en liesse célèbre nos valeureux et talentueux Bleus (qui ont, n'en doutons pas, été soutenus par les équipes du SMFC et de l'OE...), n'oublions pas les débuts du Tour de France.

Une épreuve très particulière cette année, puisque les principaux favoris ont été exclus pour soupçon de dopage. Le Tour est très ouvert et e. a donc décidé de s'engager sous les couleurs de l'équipe "M. des jeux".

Il a été pris un peu au dépourvu par cette qualification au dernier moment et son entraînement laisse encore à désirer. Mais M. a pris les choses en main :

Dès le matin, les mains aux cocottes, le vaillant cyclist-e commence la journée par un contre-la-montre chronométré par M. Puis indispensable séance de massage.

Après une bonne petite sieste, sortie dans l'arrière-pays avec l'ascension de quelques cols. e. se met alors en danseuse, dès que les premiers lacets apparaissent. Il prend les virages à la corde, change de braquet et ouvre son maillot. C'est dans cette position que M. le préfère. Elle le suit et selon les circonstances lui donne quelque musette ou quelques coups de badine pour l'encourager à aller plus vite. Elle aime bien quand il se met dans le rouge et sprinte pour avoir le prix du trophée des grimpeurs...

Son seul point faible est la descente. Il est prudent (c'est bien) et un peu trop léger. C'est généralement à ce moment-là que le premier peloton, jusque-là en chasse-patate, le rattrape.

Tous ces efforts dans la montée pour rien ou du moins juste pour la gloire : le vélo est vraiment un sport de maso. e., le nez dans le guidon sur le plat, doit attendre le prochain col pour tenter une échappée, car il sait ce qui l'attend s'il ne finit pas premier sur la ligne d'arrivée. M. a des méthodes très au point pour le motiver...Il faut bien sûr baisser le cuissard pour éviter que la peau de chamois n'amortisse les coups...